Lettre – 001 – Novembre 2009

Association ‘’ Anciens Aérodromes’’

n° 001 – novembre 2009

***

Site Internet : https://www.anciens-aerodromes.com

Editorial

3 octobre 2009, une date importante pour notre association  car il s’agira de celle de sa création officielle en présence de nombreuses personnalités du monde aéronautique.

Un mois vient de s’écouler depuis notre première assemblée générale et je constate déjà l’ampleur du travail réalisé à ce jour. Nous poursuivons avec le conseil d’administration la mise en place de toute l’infrastructure nécessaire, compte bancaire, déclaration au JO, attente du local, boîte postale, espace de discussion, etc …

Les échanges de mails entres nos membres restent à un niveau important ce qui atteste toujours du grand dynamisme de notre travail. Vous découvrirez à la lecture de cette lettre de liaison les nombreux articles qui la composent.

La communication autour de la création de l’association nous a déjà apporté de nombreux contacts, qu’il s’agisse d’autres associations partageant les mêmes buts que nous ou  d’organisme publics qui nous apportent soutien et encouragement. Nous ne pouvons bien sûr que nous en féliciter.

Notre équipe est à ce jour certes plus restreinte que précédemment car certains ont souhaité nous quitter mais cela n’a en rien ralenti nos échanges. Poursuivons donc ensemble ce travail fabuleux de recherche. Je pense que notre association va bientôt adopter un régime de croisière grâce à la participation de tous.

Le prochain projet que nous mettront sur les rails dans le domaine de la communication sera l’expression de nos vœux 2010 avec nos propositions d’action. Vous serez prochainement informés de ces nouveaux développements.

Anecdote historique

Rubrique ouverte à tous nos membres qui souhaitent présenter un épisode historique

Il y a cent ans… La première traversée féminine en ballon de la Mer du Nord du continent vers l’Angleterre par Marie MARVINGT

Philippe Foubert

Marie Marvingt et E. Garnier à bord de L’Etoile-Filante

Nancy le 26 octobre 1909

Par une belle matinée d’automne, le mardi 26 octobre 1909, le ballon L’Etoile-Filante fut gonflé dans l’enceinte du parc de l’Exposition à Nancy. Construite par la société Astra, l’enveloppe sphérique contenait 900 mètres cubes de gaz d’éclairage. Le départ ne fut pas annoncé. Quelques personnes seulement assistèrent aux préparatifs et au décollage. Le temps était beau et le vent soufflait en direction du Nord. Détentrice du brevet de pilote aéronaute, Marie Marvingt avait débuté sa carrière aérienne avec un grand pilote de l’Aéro-Club de France, Georges Blanchet. Marie était accompagnée d’un passager du nom d’E. Garnier qui allait faire sa première ascension en ballon. L’Etoile-Filante quitta le sol à onze heures sept et se dirigea rapidement vers Pont-à-Mousson. La Seille, une rivière frontière qui séparait la France de l’Allemagne, fut franchie. La Moselle également. Le ballon passa au-dessus des belles arches romaines de Jouy puis des hautes cheminées des forges d’Ars qui crachaient leurs fumées menaçantes en direction de l’aérostat sans l’atteindre heureusement. Quelques instants après, le gigantesque hangar à Zeppelin fut aperçu dans la plaine de Frescaty. Avec peut-être de la nostalgie, Marie contempla Metz, désormais allemande, où elle vécut dix ans. Le fameux champ de bataille de Gravelotte fut survolé puis Briey à une vitesse de vingt quatre kilomètres à l’heure et à sept cents mètres de hauteur. Les deux voyageurs arrivèrent au-dessus du Luxembourg puis, continuant toujours leur route vers le Nord, rencontrèrent Aix-la-Chapelle située à la jonction de l’Allemagne, de la Belgique et des Pays-Bas. Avec l’arrivée de la nuit, la vitesse augmenta très sensiblement et l’ancienne capitale de Charlemagne fut rapidement dépassée. Une demi-heure plus tard, Marie reconnut les immenses cheminées de l’usine de canons Krupp, à Essen. L’ironie du sort voulait que c’était précisément dans ce lieu que fut inventé et fabriqué le fameux canon à ballon, véritable précurseur de la défense anti-aérienne, mis en service au début de l’année 1871 autour de Paris assiégé pour tenter d’abattre les ballons poste. Vers dix neuf heures, à une allure vertigineuse selon les propres termes de Marie, le ballon arriva en Hollande. Elle songea à ce moment à atterrir lorsque la boussole indiqua un brusque changement de direction, la route obliquant soudainement vers l’Ouest. L’intrépide jeune femme exposa alors à son passager son intention de traverser la mer du Nord en direction de l’Angleterre. Marie connaissait bien les vents dans cette région, ayant beaucoup navigué à la voile. Garnier approuva le choix de sa compagne et le ballon aborda l’immense étendue d’eau du Zuiderzee. Les digues étaient déjà submergées par les vagues et l’aérostat, poursuivant sa course de plus en plus rapide, laissa à sa gauche Amsterdam illuminée dans la nuit obscure. A vingt heures quinze, les aéronautes abordèrent sereinement la mer, ayant à bord encore cinq sacs de lest. Pourtant, peu après, L’Etoile-Filante subit une forte condensation de son gaz et vint effleurer la cime des vagues. Marie délesta énergiquement pour remonter. Vers vingt et une heure, la situation s’aggrava brutalement. La température s’abaissa très rapidement et tous les cordages furent en un instant recouverts de glace. Bien qu’emmitouflés dans d’épaisses fourrures, les deux voyageurs étaient transis de froid. Le ballon remonta à mille six cents mètres et voguait maintenant dans une tempête de neige. Surchargé, le ballon descendit aussi rapidement qu’il était monté et un sac de sable ne suffit pas à enrayer la chute. Arrivée à vingt mètres au-dessus des flots déchaînés, Marie largua le guiderope. Le sommet des vagues léchait déjà la nacelle quand Marie se sépara à regret d’un sac de sable, faisant rebondir L’Etoile-Filante jusqu’à mille sept cent mètres. Pour les infortunés aéronautes, les montagnes russes recommencèrent. Très alourdi, le ballon ne resta guère de temps à cette altitude et redescendit en un éclair. La neige tombait toujours et la tempête redoublait de force. Marie vida son dernier sac pour éviter un amerrissage dont l’issue aurait été forcément tragique. Le ballon remonta. Le baromètre s’arrêta à deux mille quatre cents mètres et l’aérostat entama une nouvelle descente vertigineuse. La neige fit place à une pluie torrentielle qui inonda tout dans la nacelle. Malgré ces terribles conditions de vol, Marie ignorait la peur. La fiancée du danger, comme l’avait surnommé fort justement un contemporain, semblait dans son élément naturel, défiant la nature survoltée par son calme, la sûreté de ses gestes et de son jugement. Elle s’émerveillait même devant le spectacle grandiose que lui offrait la tempête. A court de sable, Marie se débarrassa de son ancre et évita de peu l’immersion fatale. Une dernière fois, L’Etoile-Filante rejoignit la voûte céleste jusqu’à deux mille six cents mètres. Elle ne resta guère de temps accrochée sous les étoiles et retrouva vite le voisinage fâcheux des flots en colère. Le contact fut rude. Tapis au fond de la nacelle, Marie et Garnier s’agrippèrent tant bien que mal pour éviter d’être éjectés. De lourds paquets de mer s’abattaient sur les naufragés qui résistaient stoïquement. Soudain, une lueur apparut. C’était une barque de pécheurs qui passa comme une ombre sans voir L’Etoile-Filante qui filait toujours en direction des côtes anglaises. Vers minuit trente, le ballon coupa la route d’un grand voilier, à une quinzaine de mètres seulement de son bord. Marie entendit les cris des marins terrifiés. La collision, épouvantable et d’un genre inédit, fut évitée de justesse. D’autres navires furent croisés, puis, au bout de deux heures d’une lutte épuisante, la lumière éclatante d’un phare apparut enfin vers une heure et demie du matin. Mais le combat n’était pas encore fini. Une falaise barrait la route au ballon et menaçait de le broyer impitoyablement. Le précieux guiderope qui était sorti de l’eau et se traînait sur la grève, délesta l’aérostat qui fit un bond de cent mètres. La côte était enfin franchie. L’atterrissage fut tout naturellement envisagé et l’équipage se prépara à un choc très violent. Garnier se suspendit au cercle de charge et Marie essaya d’ouvrir la soupape qui fonctionna difficilement. Le ballon étant très près du sol, elle prit la décision d’arracher le panneau de déchirure. La corde, très mouillée et sans doute coincée, ne put remplir sa fonction et le panneau refusa obstinément de s’ouvrir. Un arbre arrêta quelques instants la folle cavalcade emprisonnant dans ses branches la nacelle qui se renversa. Marie fut précipitée dans un buisson, la tête en avant. Le ballon, délesté de sa passagère, reprit sa route avec Garnier seul à son bord. Marie écrivit dans un article paru à l’époque : « (…) Non sans difficulté, je me dégage des ronces et des épines ; dans ma chevelure mouillée et flottante s’enchevêtrent les genêts et les sapins ; transie, grelottante, dans l’ombre, sous une pluie diluvienne, je vais dans la direction où est parti le ballon. Le sol est marécageux, j’avance difficilement. A environ deux cents mètres, je suis arrêtée par un cours d’eau que la tempête a transformé en torrent ; le passer à la nage, vu le courant, serait folie. A regret, je reviens sur mes pas et arrive à l’endroit où la nacelle s’est renversée. Je défais ma cravate et l’attache, comme point de repère, à l’arbre qui a arrêté le ballon. Le phare, que nous voyions de la mer, à notre gauche, était proche et le pays ne peut être loin. Sous la pluie et le vent, qui me reverse presque, je longe une route, recouverte d’au moins dix centimètres d’eau, bordée d’arbres et de pâturages. La campagne est déserte, mais après un kilomètre environ, j’aperçois des maisons ; de nombreux petits cottages anglais, à un étage, bordés de jardins, sont alignés dans l’ombre. A une fenêtre, je vois de la lumière, au même moment passe un cycliste ; immédiatement, je l’interpelle. Son effarement est grand lorsqu’à la lueur de sa lanterne, il reconnaît une silhouette féminine et quelle silhouette !!… En quelques mots d’anglais, je le mets au courant de mon voyage aéro-maritime, qui lui explique vite l’état de mon costume. Tout à fait ahuri, il commence par m’apprendre que les transatlantiques mettent onze heures et demie pour venir de Hollande et nous n’avons été (sic) que cinq heures pour faire ces deux cents kilomètres de mer… Mais il me dit aussi qu’il ne se souvient pas avoir vu une pareille tempête depuis longtemps. Il me fait entrer dans une maison voisine, où trois charmantes anglaises, mises au courant de ma traversée, s’empressent autour de moi. Mais, tout d’abord, je songe à M. Garnier. Toujours grelottante et ne pouvant retourner à sa recherche, je donne des indications pour qu’immédiatement l’on s’occupe de le retrouver. Je désigne la cravate comme point de repère. (…) ». Vers quatre heures, un policier vint trouver Marie avec de bonnes nouvelles. Le ballon avait été retrouvé et Garnier était sain et sauf. A quelque distance du point de chute de Marie, L’Etoile-Filante avait fini son vol dans un chêne. Très chanceux, Garnier tomba de branche en branche et ne se fit que quelques contusions. Après quatorze heures trente passées en l’air, le ballon était finalement arrivé près de Southwold dans le comté de Suffolk. Laissons à Marie Marvingt le soin de conclure : « (…)  Nos aimables hôtes lui offrent (à Garnier, NDLR) une chambre, on lui donne des vêtements secs et en lunchant de grand matin, c’est avec une vraie joie que nous revivons cette nuit unique, rempli d’impressions saines et profondes, dont nous gardons tous deux le plus intéressant souvenir ».

Marie Marvingt était née à Aurillac le 20 février 1875 et décéda à Nancy le 14 décembre 1963. Elle était titulaire de trente quatre décorations, dont la Croix de Guerre 1914-1918 avec palmes, la Légion d’Honneur et la Médaille de l’Aéronautique. Elle s’introduit dans des tranchées de première ligne comme « poilu » avec un bataillon et participa à un bombardement aérien en Allemagne. Elle était licenciée en Lettres et parlait cinq langues. Infirmière diplômée, elle était aussi journaliste sportif, très bonne cavalière, soulevait des haltères, pratiquait le cyclisme, la boxe, la lutte, le jiu-jitsu, le judo, le karaté, le tennis, le golf, le billard, le water-polo, le polo à cheval, le hockey, le base-ball, le football, le saut, la course à pied, le funambulisme, savait jongler, pratiquait le ski, l’alpinisme, le canot automobile, le vol à voile, l’avion, maniait le sabre, l’épée et le fleuret. Elle était championne de tir, chassait la panthère et le phoque et pratiquait la spéléologie. C’était la seule femme au monde détentrice de quatre brevets aéronautiques : ballon, avion, hydravion et hélicoptère. Elle jouait du cornet, avait étudié le droit, la tragédie, le chant, le dessin, la peinture, la sculpture, les danses, pratiqua l’hypnotisme, la météorologie, la psychologie, l’océanographie, la balistique, la plongée sous-marine, etc. !!!

Philippe FOUBERT

foubert.philippe@free.fr

Philippe Foubert n’est pas membre de notre association mais je le remercie de nous avoir permis de publier cette étude sur notre lettre de liaison.

Nouveaux membres

La liste de nos membres est encore en phase d’actualisation. Vous la recevrez bientôt avec une partie coordonnées et une seconde plus axée sur la présentation de chacun.

Rapport activités pour les mois d’octobre 2009

1er octobre 2009  Communication de Jean Luc Charles

< Synthèse presse GIFAS du 30 Septembre 2009
« Mérignac : le Conservatoire de l’Air et de l’Espace d’Aquitaine cherche à s’étendre »
*21 septembre 09 – Sud Ouest
/Le Conservatoire de l’Air et de l’Espace d’Aquitaine, installé sur la Base aérienne 106 à Mérignac et se trouvant, aujourd’hui, de plus en plus à l’étroit, souhaite s’étendre. Outre une quarantaine d’avions, il regroupe des objets aéronautiques, comme des instruments de bord, des sièges éjectables ou un simulateur de vol/.>

2 octobre 2009   lettre de remerciement de la Mairie de Oye-Plage

Monsieur Olivier Majewicz, Maire de Oye-Plage et Conseiller Général du Canton d’Audruicq nous remercie pour l’aide que nous lui avons apporté lors de l’exposition intitulée  ‘’ Quand le béton refait surface’’ qui eut lieu dans le cadre des journées du patrimoine.

Merci à nos membres qui avaient fait le déplacement sur place.

3 octobre 2009   Assemblée Générale de création

Merci à ceux qui firent le déplacement. Une bonne journée. (Cf la Lettre Spéciale réalisée à cette occasion). Ci-joint lien vers le Power Point de présentation :

http://dl.free.fr/oAfYTlzV4

3 octobre 2009   Reportage Eric Fardel à Mont Levêque (Oise)

©

< La journée du souvenir était organisée par la commune en mémoire du pilote Français, le Sous- Lieutenant Jean RUBY.
Ce pilote du GC I/8 est tombé suite à un combat aérien au dessus du village le 19 mai 1940 à bord de son MB 152 n°522, alors qu’il attaquait un Do 17.
Lors d’une cérémonie le matin, une plaque a été inaugurée ainsi que le baptême de la salle polyvalente de la commune qui porte désormais son nom. A l’intérieur de la salle se tenait une exposition avec de nombreux documents sur le S/Lt RUBY, évocation de la campagne de France (du point de vue aérien), descriptions des terrains de Chantilly les Aigles et Creil et enfin présentation de matériel et mannequins.
Après la cérémonie le fils de Jean RUBY a lu un petit discours très émouvant en l’honneur de son père (qu’il n’a pas connu) puis nous avons été invité au traditionnel verre de l’amitié.
A l’extérieur les visiteurs pouvaient visiter 2 camps (1 Français et 1 Américain) mis en place par les 2 associations « France 40 » et « Market garden »
Enfin pendant l’après-midi nous avons pu admirer le passage à basse altitude de 3 avions provenant du Plessis-Belleville, 1 T6, 1 YAK 52 et 1 YAK 18T.
En plus de nombreuses rencontres entre passionnés, j’ai pu constater un nombre important de visiteurs lors de la cérémonie du matin et tout au long de la journée, preuve de la réussite de cette commémoration.

Voir aussi les liens suivants :

http://oise-1939-1945.jed.st/?numero=300

et

http://www.pyperpote.tonsite.biz/patrimoine/pages/mont_l_eveque_2009_03pag.html > Eric Fardel

4 octobre 2009  Les premières félicitations pour notre constitution en association

Correspondance entre Nicolas Grebert et les responsables du musée de Chiévres (Belgique)

<C’est avec envie que nous avons suivis toute la saga de l’évènement ici depuis Chièvres.

J’ai régulièrement dispatché les infos à tous notre groupe? Et je puis assurer qu’il a soulevé beaucoup d’enthousiasme parmi nous.

Notre seul regret et de n’avoir pas pu nous déplacer pour voir « de visu » la fête. Mais ce n’est que partie remise.

Nous avions ces jours ci (WE) les journées bienvenues à Chièvres, et notre musée était de la partie.

Je reste donc attentif aux mails de ta part, et continuerai, bien sûr, à répandre la bonne nouvelle en Belgique.

N’hésite pas non plus à voir régulièrement notre site : www.mibac.be, et éventuellement à y laisser quelques mots.

Merci encore pour tout et à bientôt.

Daniel LELEU  pour le musée de la base de Chièvres.>

10 octobre 2009 Bases aériennes en Indochine

http://dl.free.fr/vhbwpDDkO

D’après un livre du SHD, pages envoyées par notre collègue Irénée Cordonnier. Document en ligne sur la page :

https://www.anciens-aerodromes.com/illustrationsterrains/documents/documents.htm

11 octobre 2009    Une communication de Thierry Gehan

< Je souhaite m’entretenir avec vous d’un sujet grave :

Dans nos débuts, tant que notre association est une petite nouvelle qui doit faire sa place dans le monde des historiens (et autres intérêts corrélatifs) de l’aviation, nous devons être très circonspects dans nos contacts avec les uns ou les autres.

Il m’est venu aux oreilles que certaines personnes, évitées par certains d’entre nous depuis longtemps, essaient de rentrer en contact autrement. Chacun de nous en connaît, de ces gens de bonne foi et très sympathiques, qui croiront (apparemment ?) nous rendre service et qui, une fois embarqués avec nous, nous entraîneront vers des remous qu’ils provoquent souvent eux-mêmes. Ils espèreront ainsi aboutir dans des projets où ils achoppent parce qu’ils ne regardent pas sous le bon angle, ne prennent pas les précautions convenables, et de fait importunent les décideurs.

ÊTRE IDENTIFIÉS AVEC DE TELS GENS, DE PRÈS OU DE LOIN, NOUS TUERA.

Ils sont toxiques, rarement pas leurs intentions, la plupart du temps par leur comportement.

Nous sommes en relation avec des gens sérieux, responsables, ayant le pouvoir de nous aider ou nous planter.

Nous sommes des gens sérieux, responsables et respectueux du pouvoir dont nous dépendons pour être et agir.

Donc :

On n’élargit le cercle que vers des gens dont on est sûr qu’ils sont comme nous ou comme les détenteurs dudit pouvoir.

On se méfie de tous les gens qu’on ne connaît pas suffisamment pour en être garant devant l’association et les autorités de tutelle.

On ne prend pas fait et cause pour des mouvements qui ne viennent pas de nous. On ne fait pas état de son appartenance à Anciens Aérodromes tant que l’association ne l’a pas décidé.

On demande aux autres ce qu’ils en savent. On prévient quand on sait qu’il y a danger.

On se rappelle qui a le contact avec qui et on repasse toujours par lui (ou elle). Sinon on risque de donner un discours incohérent et de prêter le flanc à la critique, voire de nous laisser diviser.

C’est à ce prix que nous serons bons pour les bons, et cons pour les cons. La sélection se fera et chacun se positionnera naturellement par rapport à nous. Certains changeront d’attitude voyant notre comportement.

Je ne mets pas en place publique ce que je sais (Internet est une place publique). Je vous engage tous à faire comme moi. Le point de contact central pour ces questions, c’est LB ou JMB, à qui je dis ou dirai tout.

Dans un équipage, il y a un commandant de bord et un second. Le radio ne passe que ce qu’ils lui dictent, sur le réseau approprié. Le nav propose des routes vers le but donné par le cdt. Celui-ci a liberté de manœuvre dans un cadre donné, et n’en déborde pas. PAS D’INITIATIVE INOPINÉE. Au besoin, il faut avoir le courage de neutraliser tout membre d’équipage dont le comportement n’est pas sûr,  surtout si on l’aime beaucoup.

Je l’ai appris très tôt en transcrivant des conclusions de commissions d’enquêtes accidents. Un exemple : comment le Ltt C… a tué avec lui le Cne G… qui avait dit le matin : « C’est la dernière fois que je vole avec lui. S’il ne change pas de comportement, je le fais mettre à pied ». Dans l’axe, ils ont percuté en finale. Les plaques d’identité de G… étaient tordues, on a retrouvé un pied dans une botte de vol loin de l’avion, des débris par ci par là (il n’y avait pas eu d’incendie). Comme chaque fois, on n’a pas pu reconstituer vraiment les corps ; on a rendu aux familles des cercueils scellés, d’un poids normal. Il y a de la terre lorraine (ou d’ailleurs) dans beaucoup de cimetières en France. Et le proprio s’est plaint de la peur que ses vaches avaient eue. Quant à moi, à 20 ans, j’avais appris quelque chose de grave. Valable pas seulement dans la vie militaire.

Cet épisode peut vous paraître d’un niveau de gravité différent de notre modeste propos. Je n’en suis pas sûr. Nous sommes une part d’un ensemble impliqué dans de grands enjeux. L’intérêt de hautes autorités le démontre. Cela nous rend très fragiles dans nos contacts avec le milieu dans lequel nous évoluons.

Ceci dit, nous sommes très bons, nous aimons que nous faisons et le faire ensemble, nous sommes regardés avec bienveillance d’où il faut, continuons !

Avec l’amitié d’un infrastructeur un peu ancien, qui se plait bien dans notre machin. >      Thierry Géhan

12 octobre 2009 Des félicitations pour notre association

 » Les Ailes Anciennes Le Bourget  »  vous félicitent chaleureusement ainsi que l’ensemble de vos membres pour la création de l’association  »  Anciens Aérodromes  » à qui nous souhaitons réussite et succès.
Nous sommes heureux de faire partie des associations avec lesquelles vous êtes régulièrement en contact et de notre collaboration.
Avec nos cordiaux sentiments
Pour les AA Le Bourget / René Potet

13 octobre 2009 Création d’une nouvelle page sur la BA de Creil

Voici une nouvelle page en ligne concernant la BA 110 de Creil grâce au travail de notre collègue Jacques Calcine, guide de cette journée du 1er juillet dernier.
https://www.anciens-aerodromes.com/illustrationsterrains/Creil.htm

©

13 octobre 2009 Nouveau contact SLHADA

< Bonjour.

La SLHADA – Société Lyonnaise d’Histoire de l’Aviation et de Documentation Aéronautique – vous félicite pour votre initiative et vous souhaite bonne chance et longue vie.

Nous souhaitons également figurer dans vos liens partenaires, si vous le voulez bien.

Le site de SLHADA http://perso.numericable.fr/ylaurenc ne dispose pas encore de page de liens. Dés que la page sera créée, nous nous ferons un plaisir, que dis-je, un devoir d’y inclure un lien vers votre site

Cordialement

Yves Laurençot

Vice président délégué de SLHADA >

14 octobre 2009   Mail de félicitations pour nos travaux

Suite à ma demande de publication pour l’article sur Marie Marvingt présent sur cette Lettre dans la chronique historique.

< Cher Monsieur,
Je vous remercie pour votre mail. Je suis particulièrement sensible à vos travaux de mémoire et milite également en faveur des recherches historiques touchant l’aéronautique, et l’aérostation en particulier. Je me dois de vous
féliciter pour les études que vous menez dans votre association, comme historiens et comme « archéologues ». C’est une approche passionnante qui renouvelle les études sur le passé de l’Aéronautique. Je tiens également une
modeste rubrique histoire dans le bulletin de la Fédération Française d’Aérostation (FFA) dont je suis le trésorier général.
J’espère rester en contact avec vous et vous donne bien entendu l’autorisation de publier mon article sur l’étonnante – et bien oubliée – Marie Marvingt. Cet article paraîtra dans le prochain bulletin de la FFA.
Avec mes remerciements et mes sincères salutations aéronautiques.
Philippe FOUBERT
Secrétaire général adjoint de l’Aéro-Club de France, Aéronaute >

15 octobre 2009   Contact de l’association ‘’ Air Mémorial Creusois’’

< Bonjour,

J’ai bien pris connaissance de votre courriel ci-dessous et je vous en remercie.

Si vous souhaitez mettre dans vos liens, mon site AIR MEMORIAL CREUSOIS, ce serait avec plaisir.

De mon coté, je peux en faire autant dans la rubrique « Partenaires et Amis » de www.airmemorialcreusois.fr sachant que ma prochaine mise à jour doit s’effectuer au cours du 2ème trimestre 2010.

A vous lire,

Bien cordialement     Fernande BONNEMAIN >

16 octobre 2009  Promotion de notre association sur le blog Pilotesmag

<Bravo pour cette initiative !

http://www.pilotesmag.com/Pilotesmag/Le_Blog/Entrees/2009/10/16_ASSOCIATION_ANCIENS_AERODROMES.html

Salutations aéronautiques,

F. Besse

www.pilotesmag.com >

16 octobre 2009 Promotion de notre Association sur le site Québécois Plein Vol

<Monsieur,
Merci pour votre information sur la création de votre association.

Je vous invite à ajouter le site du Magazine PLEIN VOL (Québec, Canada) dans vos liens. (www.pleinvol.com).
J’en ferai de même pour le vôtre que je viens de visiter. Nous avons une chronique historique dans chacun de nos numéros et l’aviation commerciale canadienne a débuté au Québec qui regorge d’anciens aéroports et d’histoire!
Cordialement,
Diane Autran, Éditrice/Publisher >

16 octobre 2009 Pour éviter que l’aérodrome de Romilly-sur-Seine devienne un des ‘’ anciens aérodromes’’

Mail de Jean Molveau, Rédacteur en chef de Vol à Voile, Secrétaire de rédaction d’Aviasport

< Bonjour,
Je vous remercie de ces informations, qui me parviennent cependant trop tard pour une exploitation dans le numéro de novembre d’Aviasport… Ce sera pour le suivant.
Il y aura néanmoins dans ce magazine (n° 656, novembre 2009) un petit article sur la problématique des aérodromes aujourd’hui après leur transfert aux collectivités locales, un débat ayant eu lieu le 7 octobre sur ce thème dans les locaux de la DGAC, débat auquel j’ai participé. Il ne s’agissait pas de patrimoine, mais bel et bien de préservation de l’activité existante.
J’attire votre attention sur le cas dramatique de Romilly-sur-Seine, dont la plate-forme, de la volonté des élus locaux, doit disparaître au profit d’une zone d’activités…

Une pétition circule à ce sujet (voir http://aeroclub.romilly.free.fr/) qu’il serait bon de relayer…
Cordiales salutations aéronautiques. > Jean Molveau

17 octobre 2009  Mise à jour page liens

https://www.anciens-aerodromes.com/illustrationsterrains/liens%20partenaires.htm

sur divers associations et sitesweb avec Logos en liens actifs.

19 octobre 2009  Nouvelle page en ligne

Sur le terrain de Brutelles département de la Somme. Un terrain construit en 1939 et jamais utilisé …

https://www.anciens-aerodromes.com/illustrationsterrains/Brutelles.htm

19 octobre 2009  Nouvelle page en ligne

Concerne le premier aérodrome de l’histoire à Viry-Châtillon nommé Port Aviation. Page réalisée en lien avec le siteweb de Francis Bedei.

https://www.anciens-aerodromes.com/illustrationsterrains/Viry%20Chatillon.htm

19 octobre 2009    Un contact Espagnol pour une collaboration future ?

<  MR. Laurent Bailleul:
Par www.pilotesmag.com j’ai connu l’existence d’Anciens Aérodromes et  sont web.
J’ai publié une notice sur l’existence de la nouvelle association.
Le lien est:
http://www.aerosabadell.com/main/index.php?option=com_content&task=view&id=2020&Itemid=36

Aussi, vous pouvez visiter le GALERIA DE FOTOS de cet web. Vous  trouverez 33 sections, surtout REFUGIOS ANTIEREOS GUERRA CIVIL ESPAÑOLA.
Ce sont photos de plusieurs places dans populations construit pour  defense civile, surtout dans la Catalogne (je habite dans Barcelone).
Dans le web il y a peu de ces places, car est laborieux la  recherche et aller faire photos.
Dans les dernières années à Catalogne ont fait un travail de  récupération de les refuges antiaeriennes.
L’information n’est pas centralisé, est disperse dans les webs de  populations.

L’exception est la web www.aviacioiguerracivil.com., dédié a  l’activité de les forces aériennes de la Republique Espagnole et les  refuges.

Aussi, je connais quelques livres qui parlent de l’existence d’aérodromes provisionnelles dans la guerre espagnole. Je vous envoi un intéressant pdf, écrit en Catalan, sur informations  pour la construction de refuges antiaériennes. La rédaction est  possiblement de 1937.

Salutations.

José Fernández García
Editeur Aerosabadell.com  >

Proposition émise d’être mis en contact avec des passionnés d’histoire aéronautique locale qui pourraient mettre en ligne des informations sur nos pages dans une rubrique ‘’ Espagne ‘’ spécialement crée.

Voir également les liens :

http://www.aerosabadell.com/main/index.php?option=com_ponygallery&Itemid=60&func=viewcategory&catid=23

et

http://www.aerosabadell.com/main/index.php?option=com_ponygallery&Itemid=60&func=viewcategory&catid=24

©

Nous réaliserons bientôt une page spécifique sur ces terrains Espagnols, une page très succincte qui sera un simple portail d’accès vers le (s) site (s) des chercheurs de ce pays.

Nous serons aidés dans ce projet par le webmestre du site José Fernández García
(Editeur Aerosabadell.com) et par Manuel Perales, un ami de longue date également ami de Pierre Clostermann.

21 octobre 2009      Communication de l’Amicale Super Constellation de Nantes

< Bonjour à tous.  Enfin ! Après deux années d’attente, le F-BGNJ a finalement trouvé un nouvel emplacement. L’opération s’est effectuée sans le moindre problème dans la nuit du samedi 17 au 18 octobre 2009.

Il est dorénavant stationné près de la station Météo France de l’aéroport de Nantes Atlantique, au lieu-dit « Frémiou » bien connu des spotters.  Il n’est pas encore possible d’accéder directement à l’avion, mais il est enfin visible depuis le « domaine public ». Vous serez à une petite dizaine de mètres de lui lorsque vous aurez le nez au grillage !

©

Au nom de notre Président Michel BEYSSAT nous tenons à remercier toutes les personnes qui, de près ou de loin, ont participé aux tractations avec les autorités et directions diverses pour trouver une solution de déblocage et au transfert du Super Constellation.

Nous remercions aussi l’Aéroscope, la gendarmerie, la CCI, l’armée, Air France, Régional, tous nos partenaires ainsi que tout le personnel de l’aéroport NANTES ATLANTIQUE.

Nous vous remercions aussi pour votre aide et votre soutien ainsi que tous vos messages de sympathie et d’encouragements.

Dans quelques semaines la restauration va enfin pouvoir reprendre.
Nous n’attendons plus que la construction d’une clôture grillagée autour de l’avion pour y accéder. >

Voir les photos :    http://superconstellation-nantes.fr/home_iframe.html

22 octobre 2009   Visite de la Base Aérienne Orléans-Bricy BA 123

< Sur l’invitation du Major André HUARD, je me suis rendu ce jour à la BA123 là ou j’ai effectué mes obligations militaires en 1966. Après les démarches obligatoires d’admission d’entrée avec badge, le Major m’a présenté son équipe de bénévoles dans la salle de traditions. Deux autres personnes étaient conviées à cette journée : Christian DIEPPENDALLE, historien (crashs US en région centre) et Monsieur BOTARD témoin du crash du pont de Tolbiac (il a œuvré pour une cérémonie officielle de cet accident historique passé aux oubliettes).

Comme toute association, l’équipe à « DEDE » a traité les affaires courantes, les projets à court terme et leur financement ; on a tous les mêmes soucis. Christian DIEPPEPENDALLE a été remercié pour sa présence et son travail lors de la commémoration pour les victimes du crash US de St-Péravy-la-Colombe. Mr BOTARD a été remercié pour l’apport de sa collection personnelle au musée de la base et pour son travail de mémoire concernant les victimes du « pont de Tolbiac » ( FAFL).

Et « Orléans Saran » ! Tous avouent ne pas y avoir pensé ; ils citent le terrain des Groues, leur historique de la BA 123 commence à la création de la BA 123 en 1933 ; Saran avait déjà été classé terrain de secours (1924). Pourtant sur mon insistance, les plus anciens se souviennent.

Et alors ! Et alors Apéro : champagne ! A la française, amuse gueule craquants et premières impressions sur cette rencontre somme toute bien préparée et pleine de surprise pour ses invités. Sans le connaître, j’avais déjà interpellé Mr DIEPPENDALLE au sujet du crash du B27 de Vrigny (retour de la mission Ludwigshafen).

©

Déjeuné copieux au Mess ; à table les questions fusent de toute part concernant tous les sujets qui préoccupent chacun des participants ; qui les avions ; qui les hangars ; qui les longueurs de piste, chacun a son avis et son opinion s’y tient, et de source sûre en produira la preuve. Ambiance bon enfant !

Au retour, le lieutenant colonel Christian COLLIN se joint au groupe. Après de nouvelles présentations on se remet au boulot. Le déjeuner a laissé le temps de la réflexion aux adjudants et majors qui me sortent de leurs casquettes des archives dans lesquelles ils trouvent des documents officiels émanant de la 3ème région aérienne (Tours) de laquelle dépendait la BA123 à une certaine époque (entre deux guerres) qui attestent que Saran était bien annexe de la BA123 occupée par le fameux bataillon 123, qui entre autre gérait un stock de pièces réservé aux véhicules terrestres à moteur. Et la chambre de commerce qui……. Et l’aéronautique civile qui……Et le nord 2501 qui transportait les planeurs de Saran…..UNE MINE….. !

©

Trop de sujet, trop de questions pour une seule journée ; la prise de contact est excellente on échange les adresses, on promet de se revoir, chacun peut apporter à l’autre le détail qui fait la différence d’une étude bien ficelée. Le site « anciens aérodromes » est bien connu de ces passionnés aussi les ai-je encouragé à faire le pas vers un site national sérieux leur prouvant aux résultats de cette journée que la rencontre ne pouvait qu’être une nouvelle source de renseignements précis et précieux.

MERCI au colonel Thierry GEHAN que les anciens de la BA 123 connaissent bien et qu’ils saluent. Ses messages sont bien passés, l’accueil qui m’a été réservé le prouve dès le poste de garde ou des instructions avaient été données.

Avant de nous quitter nous avons visionné le film historique de la BA123, la création, l’essor, la maturité, le CD du film a été offert aux invités. Poignées de mains vigoureuses, congratulations, nos hôtes nous ont raccompagné au poste de police pour rendre nos badges.

Une prochaine invitation est prévue pour le meeting de 2010. Je suis persuadé que nous nous reverrons avant. >

Jean Claude Carpentier

23 octobre 2009 Suivi du projet de meeting à Audembert  sept 2010

Communication de Nicolas Grebert :

< Notre projet avance étape par étape …

Nous avons donc rencontré Mr Dupilet (Président du Conseil Général du Pas-de-Calais) il y a quelques jours. Il peut nous suivre à l’occasion des fêtes du patrimoine dans notre région.

Nous avons rencontré ensuite EURO TUNNEL, FORD et le Crédit Du Nord  comme sponsors.

Les associations ( Amicale Jean-Baptiste Salis, Fighter Collection, Mr Jacquard, EADS de Manching (Klaus Plaza), Amicale Avions Anciens d’Albert, The Aircraft Restoration Company sont favorablement intéressés par notre spectacle avec figurants.

Donc en résumé, nous avons pour le moment sur notre projet :

– 2 FW 190

– 3 ME 109 ( un Buchon,G-10 et G-6)

– 2 P-51 ( Miss Velma et Nooky Bookies)

– 1 JU-52

– 2 Spitfires ( MK-V et MK XIX)

– 2 avions ( Patrouille Guinot)

– 1 Hawk 75

– 1 Dewoitine 520

– 2 Bucker Luftwaffe

– 1 DR-1 triplan Von richtofen

– 2 Nieuport 17

– 2 SE5 RAF 1917

Le SIRPA AIR de l’Armée de L’Air s’occupera du « son et spectacle » avec leur Car Podium.

Nous avons contacté plusieurs associations pour les figurants.( bivouacs LUFTWAFFE, RAF, FAFL et USAAF) seront placés sur différentes scènes sous filets de camouflage.

Des vétérans de la RAF et de la LUFTWAFFE seront présent pour leurs témoignages sous chapiteaux. ( Duxford se charge de la RAF et Klaus Plaza de Manching s’occupe de quelques vétérans de la Luftwaffe, il m’a parler de pilotes de la JG 300 et JG 2 )

Petit court métrage offert par Klaus Plaza réalisé à Manching (cela vous donnera une idée de l’ambiance possible pour notre meeting…

http://www.youtube.com/watch?v=PvXQJEY6-vk&feature=related

Pour ceux qui seraient intéressés à venir avec moi à Manching rencontrer les membres Allemands et visite des Hangars de la FLUG WERK ( FW 190,Me 262 et Me 109), veuillez me contacter … J’ai trois places disponibles !!!

Nous serons logé chez Klaus pour le week-end. > Nicolas Grebert

25 octobre 2009   Mise à jour page meeting et expos sur 2009

Le Crotoy, Bondues, Duxford, Calais … quelques photos comme si vous y étiez !

https://www.anciens-aerodromes.com/illustrationsterrains/meeting.htm

25 octobre 2009 Un nouveau contact pour Orléans-Bricy

< Bonjour . Je fait des recherches sur mon père, qui a été mécanicien sur Orléans-Bricy .. en 1945 ou 1946 ..? Il est pris en photo avec des copains de la base…

J’ai d’autres photos de cette époque de mon père et des photos des avions, sur l’aérodrome, Orléans, Châteaudun, ou Rennes. Et il serait bien de pouvoir identifier les lieux et les personnages des photos.

Amicalement. Gérard Bourel.>

Ci dessous quelques photos.

©

25 octobre 2009  Bourse aux livres de Ciney en Belgique

Présence de Nicolas Grebert avec un stand, vente de livres et contacts pris avec un passionné de la 8ème Air Force, collectionneur de pièces de B17. Rencontre également avec le Maire de Vendeville (département du Nord ) qui souhaiterait organiser prochainement une exposition sur l’aérodrome de Lesquin.

©

26 octobre 2009 Rencontre avec le Vice-Président du Conseil Régional (59-62)

< Rencontre cet AM du Vice Président du Conseil régional avec Nicolas Grebert au siége du Conseil  à Lille.
Objet : Nicolas devait rencontrer le vice président chargé de l’éducation dans le but de préparer une collaboration avec des lycées techniques pour obtenir des réalisations  »bois » en vue de la Fête Aérienne d’Audembert en septembre prochain.

L’accompagner fut l’occasion pour moi de présenter notre association  »Anciens Aérodromes » à cet élu régional.

Nous fûmes bien accueilli, les deux projets retiennent l’attention du vice président, j’ai laissé à cette occasion un dossier de presse et le communiqué établis suite à notre AG.
Concernant le projet d’Audembert, ils peuvent financer la participation d’un lycée au meeting, en l’occurrence sa réalisation « matériel ».
Par contre, Nicolas devra  »démarcher » chaque lycée (liste remise) pour leur proposer le travail. Une lettre de recommandation précisant l’engagement du Conseil Régional signée par le Vice Président sera jointe au courrier.
A suivre …
Mais déjà, cette rencontre fut l’occasion de parler de nos deux projets dynamiques ! >  LB

27 octobre 2009 Rencontre avec une association locale de Ronchin (59) à l’ONERA de Lille

Sujet : Aérodrome de Ronchin

Date : 27 octobre 2009 de 9h30 à 11h30

Visiteurs : * Association Mémoire de Ronchin ;

–          Mesdames A. Mercier, Liénart ;

–          Messieurs Tonnerre (Président), Deroubaix, Castelin (2 frères), Delrue

* Association Anciens Aérodromes ; L. Bailleul & J-L. Charles, le guide ONERA
Suite à différentes discussion avec Madame Annick Mercier de l’Association « La Mémoire de Ronchin » http://lamemoirederonchin.over-blog.com/ j’ai reçu, pour faire une visite rapide des locaux historiques de l’ONERA-Centre de Lille, 7 personnes de cette association ainsi que L. Bailleul de l’Association « Anciens Aérodromes »  https://www.anciens-aerodromes.com/

La visite a consisté en une rapide présentation de la Soufflerie Horizontale, datant de 1934, ayant encore  aujourd’hui une activité soutenue, suivie d’un passage dans notre « Cimetière des Maquettes » (environ une centaine de maquettes de toutes origines et de toutes grandeurs, malheureusement en mauvais état pour certaines).

Nous nous sommes donc réunis après cela pour visualiser le but premier de cette visite : L’exposition toujours disponible sur le Terrain d’Aviation de Lille-Ronchin.

L. Bailleul en a profité, pour faire une courte présentation de la nouvelle Association « Anciens Aérodromes », et d’échanger sur des idées de recherches nouvelles concernant notamment l’aérodrome de Ronchin II. Echanges qui devraient se concrétiser dès que JLC aura fait la synthèse des documents venant d’Anciens Aérodromes. L. Bailleul était aussi là pour prendre en compte 5 panneaux  de cette exposition sur l’Aérodrome de Ronchin afin de les exposer le 12.11.2009 au Musée de Armées de Bruxelles. Les 5 panneaux sont très appropriés à l’exposition du 12.11 car ils retracent les liaisons aériennes des années 1935 entre Lille et Bruxelles (R-2-23 à R-2-27).

Concernant l’exposition disponible, elle représente environ 60 panneaux pour les thèmes suivants :

-A- Aérodromes du Nord ; 8 panneaux de dimensions diverses,

-B- Aviation générale: documents ; 12 panneaux,

-R- Aérodrome de Lille-Ronchin ; 44 panneaux,

Le fichier Word joint donne les modalités de prêt et le fichier Excel permet d’avoir un descriptif, des dimensions et les valeurs d’assurance de tous les panneaux. En annexe vous trouverez quelques photos de panneaux pris ça et là dans les 3 thèmes.

Outre la demande de collaboration entre l’ONERA-Centre de Lille et les Associations présentes sur le sujet de l’aérodrome de Ronchin II nous avons évoqué la demande de la Société Décathlon concernant l’inauguration de leurs installations pour septembre 2010.

D’après Madame A. Mercier, qui a contact avec eux, il semble qu’ils se tournent vers l’impression d’un document historique d’un assez gros volume sur l’évolution du site au fil des années qui va devenir leur Centre d’Expérimentation.

Petit rappel : Champ de manœuvre du 43ème R.I. de Lille jusqu’au début du 20ème Siècle, des années 1900 à 1940 ;  Terrain d’Aviation de Lille-Ronchin, des années 1960 au début du 21ème Siècle :  Manufacture de Tabacs de Lille. Site immense placé au S-E de Lille, hors des « Fortifications » (fantômes) de la Ville.

L’ONERA-Centre de Lille reste ouvert à tout projet concernant ce lieu représentant l’Histoire Aéronautique de Lille.

– Nous avons aussi évoqué la Maquette du Terrain d’Aviation de Ronchin. Dans quel état se trouve-t-elle ?

– Autre sujet, le devenir de tous les documents aéronautiques accumulés dans le Centre ONERA de Lille lors du départ (retraite, maladie …) du gestionnaire de ce fonds. >    Jean Luc Charles

Adresses utiles :    lamemoirederonchin@gmail.com

27 octobre 2009    Envoi de photos de Lancaster par Olivier Mahieu

Saisissant !  du pilotage d’expert !

© Jim Sheffield

28 octobre 2009   Une annonce de Philippe Jung  de l’AAAF

( Association Aéronautique et Astronautique de France )

IL Y A 100 ANS, SUP’AERO, LA 1è ECOLE AERONAUTIQUE AU MONDE

LES SUP’AERO, L’AIR & L’ESPACE

PARIS, ENSTA

Jeudi 17 décembre 2009

29 octobre 2009  Contact téléphonique avec Daniel Dahiot de l’ABSA

Il s’agit de l’Association Bretonne du Souvenir Aérien avec laquelle nous allons collaborer.

Encore un autre groupe de réels passionnés.

30 octobre 2009   Visite de la BA 279 Chateaudun par Jean Claude Carpentier

< Visite guidée par le sergent/chef William SMITH

Accueil simple et courtois à la BA 279 d’un groupe auquel il m’a été permis de me joindre en dernière minute. C’est le colonel qui a salué le groupe à son arrivée, qui nous a mené en convoi jusqu’aux hangars du conservatoire.

Confiés au sergent Smith, la visite a commencée par la présentation du conservatoire, la création et son but. La présentation des appareils, leur historique, leur fonction au sein de l’armée de l’air, la motorisation, leur affectation, leur armement ; le tout dans un langage technique détaillé mais très accessible. Il apparaît nettement que le technicien expérimenté s’est adapté aux exigences de la vulgarisation des termes techniques à la portée de ses visiteurs.

Les appareils bien présentés sont alignés selon un ordre logique et bien défini. Beaucoup d’entre eux ont un moteur équivalent au leur présenté, à côté sur un support ; ce qui donne une dimension extraordinaire au fait que cet ensemble de pièces mécaniques puisse se déplacer aussi vite et aussi aisément en altitude. On comprend mieux pourquoi le siège est éjectable !

Conservatoire ? Musée ? Peut importe, j’ai vu un grand hangar (de 1936) ou des passionnés assouvissent leurs désirs en bichonnant leurs jouets grandeur nature rêves d’enfants que certains d’entre nous savent garder et surtout qu’ils savent nous faire partager en ouvrant grandes les portes de notre imaginaire ; soyons nous aussi pour un instant seulement des chevaliers du ciel, en rêve !….

Merci à ces militaires qui ouvrent leurs portes que certains croient hermétiques. Merci à ces militaires qui tardivement ont pris conscience de la valeur de leur patrimoine. Merci à ces militaires de nous le faire partager.

Conclusion : Encore une belle journée ; j’aime quand un plan se déroule normalement !… >    JC Carpentier

31 octobre 2009    Mise en ligne de la page sur Orleans Saran

Suite à l’étude du Groupe d’Histoire Locale de Saran et de notre collègue Jean Claude Carpentier.

https://www.anciens-aerodromes.com/illustrationsterrains/Orleans%20Saran.htm

Le terrain du mois

‘’ L’aérodrome du mois ‘’   Rappel de la méthodologie pour cette rubrique:

  • Ceux qui souhaitent participer à la création d’une nouvelle page pour ce terrain doivent me contacter afin de former un ‘’sous groupe’’.
  • Envoyez moi ensuite vos documents afin de construire la page. Envoi possible de photos aériennes d’époque provenant de centres d’archives en haute résolution. L’étude d’interprétation en sera alors facilitée.
  • Possibilité ensuite d’échanger sur ce thème de recherche.
  • Mise en ligne progressive de la page au fil de nos échanges …

En juin 2010 aura lieu l’inauguration du site EOLYS sur l’aérodrome de Merville. Il conviendrait de commencer à réunir un maximum d’informations sur ce terrain afin de présenter, à l’occasion de ce meeting, quelques panneaux explicatifs sur son historique.

©

A suivre ….

Fiches Techniques ‘’Anciens Aérodromes’’

Une rubrique ouverte à tous afin de partager nos connaissances

L’art et la manière d’écrire !

Voir le site suivant :

http://www.reserviste.com/index.php?option=com_content&view=article&id=219:capitale-ou-majuscule&catid=59&Itemid=14

Hommage !

Lt. General Gunther Rall
Né en 1918 – est décédé le 04 Octobre 2009

L’un des derniers ‘’ Experten ‘’ de la Luftwaffe avec 275 victoires dont la majorité acquises sur le front de l’Est.  Il termina sa carrière comme instructeur après plusieurs blessures. Peu avant la fin de la guerre, devant le manque de pilotes expérimentés, il fut à nouveau nommé « chef d’escadrille ». Il ne commandait que des gamins essayant de maîtriser les milliers de chevaux de leur avion dans un ciel qui ne leur appartenait plus. Ces gamins n’avaient reçu à peine que quelques heures d’écolage avant de se retrouver seuls aux commandes de ces appareils.

Une nouvelle affectation dans le cadre d’une défense commune qui allait estomper peu à peu les traces de cette effroyable ‘’guerre Civile Européenne’’ que fut la Seconde Guerre Mondiale.

Les témoins de ce conflit nous quittent peu à peu pour aller retrouver très haut dans le ciel leurs compagnons d’armes sans distinction de cocardes.

Travaillons vite pour sauvegarder ce que furent leurs mémoires, tant qu’il en reste encore !

Liens web à consulter – Revues

  • http://www.leuband.de/peen2004/de/exp15.htm Un très beau reportage de vues aériennes sur le centre d’essai de Peenemunde, appelé également le ‘’Cap Canaveral du IIIème Reich ‘’.  Envoi d’un collègue allemand spécialiste de l’étude de ce centre.

Projet – Visites

  • Le 12 novembre, ouverture nocturne du Musée du Cinquantenaire à Bruxelles. Les premiers contacts sont déjà pris, nous attendons les confirmations. Possibilité d’obtenir un stand pour y présenter nos activités. Sont déjà inscrits Nicolas Grebert, Bernard Cocriamont, Thierry Cardon et moi même. S’il y a d’autres volontaires … même éloignés …
  • Du 4 au 6 décembre prochain, Daniel Flahaut organise avec l’ANSORRA un voyage aérien avec visites sur place à NICE puis à CANNES.

< Le 4/12 Rdv à ORLY, au plus tard à 6H15, décollage à 7H00 (vol AF 6240) vers Nice, (1 seul bagage à main)

Arrivée aéroport Nice vers 8H20, accueil par M. Philippe JUNG de l’3AF de l’Aéroclub de France.

Vers 8h45 départ du car pour le CDC/Radar du Mont-Agel, dépendant de la Base Aérienne 943 Roquebrune Cap Martin. Prévoir vêtements chauds, en raison de l’altitude

Vers 9H30 accueil au pied de la route militaire qui nous mènera au Radar. Visite entre 9h45 et 13h00

Repas au mess jusqu’à 15h00

Départ du car pour l’Astro-Espace à Eze « Situé sur la colline du Mont Gros près de Nice, il offre un panorama exceptionnel sur la ville et la baie des Anges. L’observatoire, classé monument historique, est situé dans un parc de verdure de 40 ha. La visite guidée est donc l’occasion d’une agréable promenade. »

Arrivée vers 15h30 début de la découverte et de l’observation du ciel, présentation de l’astronomie. Observation des étoiles par télescope de nuit. Préparation à la matinée du surlendemain à Nice.

Vers 18h00 départ du car vers hôtel 3* (Wifi  en sus)

Vers 20h00 départ pour le restaurant

Le 5/12 : petit-déjeuner entre 7H30 et 8H00 à l’hôtel, 8H15 départ du car pour CANNES la BOCA, visite de l’usine THALES ALENIA SPACE deuxième usine de fabrication de satellites au monde.

Accueil et visite en matinée assurée par PARSEC

Vers 13h00 déjeuner

Vers 14H30 départ en car pour GRASSE, visite de la parfumerie GALIMARD et du musée.

Vers 17h00 départ du car pour Nice retour à l’hôtel

Vers 20H00 départ du car vers le restaurant gastronomique avec rencontre de nos camarades de l’ANSORAA, de l’ANORAA et de l’IHEDN de la région.

Vers 23H30 retour en car à l’hôtel.

Le 6/12 à 9H30, départ du car vers l’observatoire de Nice « Sur le plateau du Mont-Gros, l’Observatoire est une véritable étoile de l’astronomie mondiale. Créé par Raphaël Bischoffsheim en 1881, on doit la réalisation aux talents conjugués de Charles Garnier pour l’architecture et de Gustave Eiffel pour la Coupole. Sa lunette de 18 m de long était l’un des rares instruments au monde qui servait aux observations virtuelles d’étoiles. Deux mille étoiles ont été découvertes à Nice. Il est devenu l’un des centres mondiaux pour la connaissance de l’univers. »

La visite sera guidée par Philippe JUNG jusque vers 12h. Puis départ du car vers le restaurant.

Vers 14h30 départ du car pour l’aéroport vers 15h00

Décollage à 16h05 vers PARIS ORLY.(vol AF 6221)

Arrivée à l’aéroport vers 17h30

Programme sous réserve imprévue de modification sur place

PRIX pour groupe de 25 personnes : 525 € par personne

Majoration de 50 € en chambre individuelle soit 575€/pers.

Acompte de 200 € à l’inscription, suivie du solde le 20 nov.

Bagages : Ils devront être uniquement placés dans un bag mis avec vous dans l’avion pour n’avoir pas à attendre à l’arrivée à Nice et pouvoir prendre le car dans un délai maxi de 15 mn après l’atterrissage. Prévoyez des vêtements chauds.

Sont inclus : – Le transport aérien en vol régulier Air France, le transport en autocar grand tourisme, les péages autoroutiers, l’hébergement en hôtel 3* Hôtel KENT 16 rue Chauvin à Nice 04 93 807 611, la pension complète des dîner des jours 1 et 2, des déjeuners des jours 1, 2 et 3, les boissons aux repas, les assurances annulation et assistance rapatriement et bagage. 2 personnes par chambre.

INSCRIPTION préférée pour raison de réservation avant le 7 novembre, par tel (daniel FLAHAUT 06 60 71 36 91) et 10 novembre confirmée par chèque à l’adresse ci-dessous.

Laurent BAILLEUL  – Comité de rédaction AA

31  octobre 2009